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Il ne semblait ni nerveux ni bâclé, mais des éléments dans son regard trahissait une attente contenue, un souhait de comprendre ce qu’il refusait encore d’admettre. Elle attrapa son sport de cartes et le battit délicatement, laissant l’énergie du moment prôner ses déplacements. L’homme suivait chaque personne de ses mouvements avec une puissance silencieuse, à savoir s’il redoutait et espérait simultanément ce que les cartes allaient lui révéler. La première carte a été retournée. Une promenade coupée par un mur de brume, dont on ne voyait ni la subtil ni le début. Un identité d’incertitude, d’un chemin qui semblait bloqué, mais qui cependant existait. L’homme ne bougea pas, mais Marianne sentit son mentalité abaisser imperceptiblement. Elle tira la deuxième carte. Une balance en accord précaire, sur le rangée de servir d’un côté ou de l’autre. Un décisions tombant, une loi que l’on repousse, mais qui finit extraordinairement par s’imposer d’elle-même. 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